• En 1988, en tant que directeur de l'équipe d'intervention rapide de Médecins Sans Frontières (MSF), Georges Dallemagne avait participé activement à l'aide humanitaire apportée à l'Arménie après le tremblement de terre.
  • En juin 2015, en tant que co-auteur de la proposition de la résolution, il a joué un rôle actif dans la reconnaissance du génocide des Arméniens par le Parlement fédéral belge.  
  • En septembre 2016, le président arménien lui a décerné une médaille de gratitude à pour son importante contribution au développement des liens amicaux entre l'Arménie et la Belgique et au développement de la coopération parlementaire entre les deux pays.
  • En septembre 2016, il a visité l'Artsakh et la ligne de contact avec l'Azerbaïdjan. Après cette visite, il a été déclaré persona-non-grata en Azerbaïdjan.
  • Georges Dallemagne est membre fondateur du Cercle d’amitié à l’égard de la République d’Artsakh (Haut-Karabagh).
  • En tant que membre du Parlement fédéral, il s’est adressé au ministre belge des Affaires étrangères et a condamné les tentatives de l’Azerbaïdjan d’utiliser l’Interpol pour harceler politiquement les personnalités publiques visitant l’Artsakh dans le but d’accroitre l'isolement de la population de l’Artsakh.
  • En avril 2019, lors des discussions à la Chambre autour de la proposition de loi criminalisant le négationnisme des génocides (
    qui a exclue le génocide des Arméniens), Dallemagne était l'un des députés les plus actifs afin d’essayer d’intégrer la pénalisation du négationnisme du génocide des Arméniens dans la loi.